Après expertises et réunions, après la lettre sympathique de Monsieur le Maire, les mises au point et autres polémiques
déposées dans les boîtes aux lettres, la voie est tracée !

Monsieur Falipou l’a exigé : « Je demande donc à ceux qui pensent avoir les compétences pour juger… »
Compétences ? On en a tous un petit peu dans quelque domaine. Qui dans la vigne ou le vin, qui dans les brebis ou les chèvres, qui pour enseigner la lecture ou l’écriture, qui pour monter un mur… Alors, on ne sait pas vous mais nous, à ÉGLISENROC quand nous lisons des rapports ou entendons des experts qui prêchent haut et fort leur bonne parole dans le petit domaine de nos compétences et que nous constatons la montagne de (co****ies) pardon, de sottises qu’ils racontent dans ce domaine, on se dit qu’en extrapolant vers ceux où nous sommes ignorants, aïe… ça fait mal ! Alors, qui croire ? Que faire ? Petit quiz.
- Quel rapport entre un chemin communal inondé parce qu’un exutoire est bouché depuis plus d’un an, une image de synthèse en guise d’emblème du village et des chapiteaux décapités dans notre église ?
- Quel esprit (pas très saint) a fait chuter un élément décoratif qui menaçait de tomber ? Et pourquoi a-t-il entraîné son frère jumeau dans sa chute ? Et que sont-ils devenus ?
- Responsabilité municipale : qui met le plus en danger sa vie ou celle des autres entre…
- Celui qui monte sur un échafaudage pour faire des petits travaux à l’intérieur de l’église, comme il fait souvent chez lui ;
- Celui qui s’abreuve outre mesure à la buvette foraine ;
- Celui qui… ?
ÉGLISENROC a commencé la liste… alors, à vos plumes et commentaires pour continuer !
Plume de citoyen…
Vigneron et contribuable ? Oui, mais citoyen toujours, Roger Bertrand indique sa surprise à M. l’Ingénieur Falipou et l’interroge sur quelques incohérences dans ses écrits.
Il demande explications sur ses préconisations : « J’ai lu et relu avec beaucoup d’attention, votre rapport en date du 6 octobre 2024, ainsi que votre lettre à la population de Saint-André de Roquelongue… ».
Voir la lettre entière.
Pourquoi réparer quand on peut barrer ou murer ? Pourquoi restaurer quand on peut casser ?
Le point de vue des « amis de l’église » :
Finies les rumeurs ? On pouvait l’espérer. Ce tract déposé en boîtes aux lettres, comme la réponse à courrier polémique écrite par Monsieur l’ingénieur Falipou voulait certainement apporter aux destinataires l’éclairage de la petite lumière d’un vigneron contribuable en présentant des faits pour rompre la polémique.
Les « amis de l’église » refusent d’imaginer qu’un ouvrier ait pu obéir à un ordre de massacrer du sacré ! Et la question demeure : “Où sont passés les chapiteaux déposés” ?
Le vigneron contribuable avait constaté l’efficacité de son premier tract : lettre du maire aux chers habitants suivie immédiatement d’une réunion publique. Qu’en sera-t-il de celui-ci ?